Musique : Grèce
Distinguée du Prix de l’Académie Charles Cros 2022 pour son deuxième album Varka, la chanteuse franco-grecque Dafné Kritharas nous invite à une odyssée musicale entre les terres de Byzance et les rivages de l’Orient en compagnie de musiciens d’ici et d’ailleurs. Un voyage qui chante l’exil, l’amour et la joie d’une voix pure et déchirante.
Chaque concert de Dafné Kritharas est une parenthèse ensorcelante. Musicienne autodidacte, curieuse de tous les genres et de tous les rythmes, elle dessine un paysage musical ouvert au classique, au jazz, au folk et aux mélodies grecques, bosniaques, arméniennes ou kurdes qu’elle ressuscite d’une voix envoûtante, à sa manière, fiévreuse, douce ou lyrique. Tantôt en français, tantôt en arménien ou en grec, elle réenchante les contes mystérieux et les légendes traditionnelles des rives de la mer Egée, voire invente ses propres récits, exprimant autant la mélancolie que des figures plus sombres et magiques dans un chant éruptif. Elle insuffle à ses compositions une puissance émotionnelle liée au blues de l’exil. Celui partagé avec ses musiciens iraniens, arméniens, kurdes, grecs, azéris, albanais et français, tous rencontrés à Paris, avec lesquels elle témoigne de la convergence des musiques et des histoires. Toutes universelles et intemporelles.
Chaque concert de Dafné Kritharas est une parenthèse ensorcelante. Musicienne autodidacte, curieuse de tous les genres et de tous les rythmes, elle dessine un paysage musical ouvert au classique, au jazz, au folk et aux mélodies grecques, bosniaques, arméniennes ou kurdes qu’elle ressuscite d’une voix envoûtante, à sa manière, fiévreuse, douce ou lyrique. Tantôt en français, tantôt en arménien ou en grec, elle réenchante les contes mystérieux et les légendes traditionnelles des rives de la mer Egée, voire invente ses propres récits, exprimant autant la mélancolie que des figures plus sombres et magiques dans un chant éruptif. Elle insuffle à ses compositions une puissance émotionnelle liée au blues de l’exil. Celui partagé avec ses musiciens iraniens, arméniens, kurdes, grecs, azéris, albanais et français, tous rencontrés à Paris, avec lesquels elle témoigne de la convergence des musiques et des histoires. Toutes universelles et intemporelles.
