Exposition rétrospective du parcours artistique de C. COLLEC. L’artiste partage ses interrogations et ses expériences pour nous amener à observer et déduire
des choses : l’esthétisme sans concession sert la force de l’imaginaire de chacun.
C COLLEC vit et travaille entre Mer et Montagne, entre Sainte-Maxime (Var) et Tartonne (Alpes de Haute Provence). Née en 1962 en Bretagne, après des études en biologie, d’infirmière et d’une vie professionnelle stoppée par des soucis de santé, elle étudie le dessin, la peinture, l’histoire de l’art, l’analyse esthétique d’œuvres d’art aux beaux-arts de Quimper, Angoulême, Toulon et Marseille.
Sa dialectique plastique est très éclectique : peinture, collages, encre, crayons, toiles,...
C COLLEC vit et travaille entre Mer et Montagne, entre Sainte-Maxime (Var) et Tartonne (Alpes de Haute Provence). Née en 1962 en Bretagne, après des études en biologie, d’infirmière et d’une vie professionnelle stoppée par des soucis de santé, elle étudie le dessin, la peinture, l’histoire de l’art, l’analyse esthétique d’œuvres d’art aux beaux-arts de Quimper, Angoulême, Toulon et Marseille.
Sa dialectique plastique est très éclectique : peinture, collages, encre, crayons, toiles, papiers, cartons, utilisation de la photographie, tout ce qui lui tombe sous la main, récupérer, recycler, refaire...
Elle travaille sur le TEMPS, laisse à l’imaginaire de chacun toute la place qu’il faut... tout n’est pas à dire... Toujours dans la limite d’un entre deux, intérieur extérieur, visible invisible, en dehors du temps, c’est une démarche intellectuelle, une recherche perpétuelle.
C. COLLEC nous dit : « aller toujours vers l’inconnu, laisser derrière nous la connaissance pour mieux la retrouver, pour aller plus loin et non se morfondre dans l’acquis », fait référence à Proust : « il y a toujours la violence d’un signe qui nous force à chercher, qui nous ôte la paix... », Paul Eluard : « l’imagination n’a pas d’instinct d’imitation, elle est la source et le torrent qu’on ne remonte pas » et rejoins Henri-David Thoreau : « ce qu’il y a devant nous et ce que nous laissons derrière, ceci est peu de choses comparativement à ce qui est en nous. Et lorsque nous amenons dans le monde ce qui dormait en nous, des miracles se produisent. »